VAGUE DE FONDS IV • GALERIE 379 • NANCY
RONDE PHOTOGRAPHIQUE
pour la Galerie 379 • Nancy
Commissariat de l'exposition VAGUE DE FONDS IV
consacrée à la photographie
RONDE PHOTOGRAPHIQUE
pour la Galerie 379 • Nancy
Commissariat de l'exposition VAGUE DE FONDS IV
consacrée à la photographie
Vingt-trois photographes à faire cohabiter, se répondre, se parler, s'entrechoquer, s'amuser, dans la Galerie 379… Carte blanche, immersion pendant trois jours, pour découvrir ce fonds… avant le vernissage… Installation ou performance ?
Doc bioptic BK à 379 à consulter
© angélique chopot |
© angélique chopot |
© angélique chopot |
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SALON DU LIVRE D'ARTISTE • POLLIONNAY
[PARENTHÈSES NOMADES]
pour le salon du livre d'artiste de Pollionnay - Rhône
pour le salon du livre d'artiste de Pollionnay - Rhône
Un projet d'Aquarium Compagnie
qui a sollicité son réseau d’artistes à produire une œuvre sur le thème
« Nomade / Nomad » pour cette nouvelle édition du Salon de Pollionnay.
Cinquante parenthèses photographiques dans un coffret papier, solide et fragile à la fois, comme la vie lorsqu'elle défile au gré des gares et des paysages.
Images prises au fil de voyages en Europe, en transport en commun.
Estampes numériques pigmentaires sur papier Arches 400g.
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LA PETITE POMME QUI NE VOULAIT PAS MOURIR
Livre d'artiste pour la Bibliothèque Bleue
MÉDIATHÈQUE JULES VERNE
Livre d'artiste pour la Bibliothèque Bleue
MÉDIATHÈQUE JULES VERNE
Un leporello de trois-cent-soixante-quinze centimètres pour vous narrer l’histoire de «La petite pomme qui ne voulait pas mourir».
La genèse de ce travail est assez difficile à relater, la combativité de cette petite pomme m’a permis d’accompagner un deuil survenu au printemps. Pourquoi cette symbiose avec ce fruit, au regard d’un bébé qui n’a pas vu le jour…?
La petite pomme était là, dans sa coupelle de porcelaine, sur la table au milieu de la pièce, caressée à certaines heures par le soleil.
Tranquille, elle s’est donnée à moi, du 23 avril au 19 juillet, comme pour m’apaiser… Je l’offre à votre regard, une manière de continuer à la faire vivre…
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LES 10 MOTS DE LA LANGUE FRANÇAISE
LES 10 MOTS DE LA LANGUE FRANÇAISE
En 2017, LES MOTS DE LA SPHÈRE NUMÉRIQUE !
Entre AVATAR, CANULAR, FAVORI, ÉMOTICÔNE, HÉBERGER, NOMADE, FURETEUR, PIRATE, NUAGE, TÉLÉSNOBER… j'ai choisi ! À vous de deviner !
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"PAYS PERDU" À LA MAPRAA • LYON 1er
"PAYS PERDU" À LA MAPRAA • LYON 1er
avec Photographies-Rencontres
La fuite © brigitte kohl - 2016 |
«Rate
de banlieue parisienne» arrivée à vingt-trois ans au pays des «rats des
champs» drômois… la lecture de ce livre, «Pays perdu» de Pierre Jourde,
a fait ressurgir de vieilles images mentales dont je pensais les
négatifs définitivement égarés au fond de moi…
Ce texte, d’une vérité, d’une véracité, d’une férocité si justes, m’a véritablement transporté dans un espace temps douloureux dont je n’avais qu’une envie, fuir… Fuir, en produisant une image qui, une fois pour toute, me permettrai d’échapper à cette réalité.
Je me suis imaginée fermant définitivement le portail pourri de cette vieille masure, monter dans ma voiture, et… rouler… pleurer…rouler, pleurer, rouler… enfilant virages et tunnels, le cerveau «cramé» envoyant des indications se superposant à la signalétique, où seul le silence permettait d’absorber les flashes de souvenirs empreints de haine, d’incompréhension, d’odeurs d’injustice, de méchanceté gratuite, de bêtise, de lacheté auxquels j’avais dû faire face, impuissante, perdue. C’était fini, enfin, la porte était close…
Dernier tunnel à franchir… plus très loin, la libération…
bk
Ce texte, d’une vérité, d’une véracité, d’une férocité si justes, m’a véritablement transporté dans un espace temps douloureux dont je n’avais qu’une envie, fuir… Fuir, en produisant une image qui, une fois pour toute, me permettrai d’échapper à cette réalité.
Je me suis imaginée fermant définitivement le portail pourri de cette vieille masure, monter dans ma voiture, et… rouler… pleurer…rouler, pleurer, rouler… enfilant virages et tunnels, le cerveau «cramé» envoyant des indications se superposant à la signalétique, où seul le silence permettait d’absorber les flashes de souvenirs empreints de haine, d’incompréhension, d’odeurs d’injustice, de méchanceté gratuite, de bêtise, de lacheté auxquels j’avais dû faire face, impuissante, perdue. C’était fini, enfin, la porte était close…
Dernier tunnel à franchir… plus très loin, la libération…
bk
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"ELLES" À LA MÉDIATHÈQUE • LA RICAMARIE • 42