LA PETITE POMME QUI NE VOULAIT PAS MOURIR
Un leporello de trois-cent-soixante-quinze centimètres pour vous narrer l’histoire de «La petite pomme qui ne voulait pas mourir».
La genèse de ce travail est assez difficile à relater, la combativité de cette petite pomme m’a permis d’accompagner un deuil survenu au printemps. Pourquoi cette symbiose avec ce fruit, au regard d’un bébé qui n’a pas vu le jour…?
La petite pomme était là, dans sa coupelle de porcelaine, sur la table au milieu de la pièce, caressée à certaines heures par le soleil.
Tranquille, elle s’est donnée à moi, du 23 avril au 19 juillet, comme pour m’apaiser… Je l’offre à votre regard, une manière de continuer à la faire vivre…